mardi 24 juin 2014

Idée aménagement urbain

Une idée pour des balades mêlant le pédagogique au créatif et agréable.
A vos craies !


samedi 21 juin 2014

Le sucre : une liaison dangereuse

Un article d'ecoconso.be



Le sucre : une liaison dangereuse
Le sucre est, avec le café et les épices, l’une de ces denrées
qui ont changé le cours de l’histoire. Mais le sucre change bien d’autres
choses encore : il rehausse la saveur de nos plats et desserts, arrondit nos
ventres et malmène notre santé. L’idée de vivre « 
sans » semble irréaliste et, pourtant, le sucre est une friandise
et non un aliment. Existe-t-il un sucre plus sain qu’un autre ? Le sucre intégral,
bio et équitable ou le miel du pays peuvent-ils au moins adoucir l’impact
environnemental de la culture et permettre aux paysans et producteurs de vivre
décemment ?



Il y a sucre et sucre

Comment fabrique-t-on du sucre ? Prenons l’exemple du sucre de canne. Le jus
extrait de la canne est chauffé, concentré par évaporation
et cristallisé. On obtient d’un côté le sucre et de l’autre
côté un liquide foncé et riche en sels minéraux :
la mélasse. La mélasse est fort concentrée en nutriments
mais hélas aussi en pesticides, donc il vaut mieux la savourer en version
biologique.


Fabrication traditionnelle du sucre au Nicaragua



Fabrication traditionnelle du sucre au Nicaragua.
Source : Lon&Queta
via Flickr
Plus on sépare la mélasse du sucre, plus celui-ci sera clair,
mais aussi de plus en plus dépourvu de sels minéraux et vitamines.
Si on laisse un maximum de mélasse dans le sucre, le résultat
sera du sucre intégral qu’on appelle rapadura, muscovado, demerara, panela...
selon ses origines géographiques. Le sucanat (de SUgar CAne NATural)
est un nom de marque qui désigne le même produit. On trouve ce
sucre dans les gammes bio et équitables.



Le sucre roux n’est pas du sucre intégral : par 100 g, le sucre
intégral contient 1 700 mg de sels minéraux, le sucre complet
ou roux 380 mg. Par ailleurs, ce qui est vendu sous la dénomination « sucre
brun », « cassonade » ou autre est en général
un sucre blanc recoloré avec de la mélasse.

Le sucre de betterave, lui, a toujours une couleur claire, même à
l’état non raffiné. Tout sucre blanc subit cependant des traitements :
il est chauffé à répétition, neutralisé,
filtré, décoloré, clarifié, recoloré... avec
entre autres de l’anhydride sulfureux, du sulfoxylate de sodium, du bleu anthraquinonique...
On est loin du naturel.



D’autres produits sucrés abondent dans les rayons. Le miel naturel,
non chauffé, a une valeur nutritionnelle et médicinale. Le sirop
d’érable de qualité artisanale et biologique est également
intéressant. Ces produits restent cependant des sucres fort concentrés
qu’il vaut mieux consommer avec très grande modération. Les sirops
de blé ou de riz, hélas, ne contiennent guère plus de nutriments
que le sucre blanc.



Que penser des produits contenant du « sirop de glucose », « sirop de
glucose-fructose » ou « sucre inverti » ? Ce sont là des sucres issus
d’un procédé chimique à base d’amidon. Ils ont un haut pouvoir sucrant
et sont bon marché pour le fabricant, mais ce sont des produits
nutritionnellement vides.



Quant aux sucres artificiels ou édulcorants, ils ne sont guère plus
recommandables. Nous en avons déjà parlé dans notre dossier « Les édulcorants, un univers de douceur ? ».



N’oublions pas que le sucre vient sur notre table tel quel... ou déguisé
 ! À côté des produits clairement « sucrés »,
il y a quantité de sucre ajouté dans les produits préparés,
sauces, ketchup, charcuteries... Ouvrez l’oeil et lisez les étiquettes !






Et dans les boissons ?

Les sodas sont un cas à part. Selon l’enquête alimentaire de 2004,
65% des jeunes belges de 15 à 18 ans boivent quotidiennement des
boissons sucrées. Ces boissons contiennent des doses importantes de
sucre et de sirops industriels, ainsi que d’autres ingrédients
problématiques (des colorants, des acides, des conservateurs comme le
benzoate de sodium ou ses dérivés, qui peuvent causer allergies et maux
de tête). La populaire boisson noire contient aussi de l’acide
phosphorique, qui pompe le calcium des os, ainsi que de la caféine, qui
crée dépendance, fatigue nerveuse et épuisement des glandes.



Des jus de fruits alors ? Même si ceux-ci sont souvent « sans sucres
ajoutés », leur teneur en sucre reste élevée et,
dans tout jus de fruits qui n’est pas fraîchement pressé, les vitamines
et enzymes ont pour ainsi dire disparu, même si les fabricants y ajoutent
parfois des vitamines synthétiques pour pallier aux pertes. Une dénomination
« pur jus » n’est pas une garantie d’absence d’adjuvant.
Attention aux nectars et autres préparations à base de fruits
 : ils contiennent du sucre ajouté.


Le sucre : un sacré perturbateur de notre santé

Consommation en hausse

Début du 19e siècle, un habitant des pays industrialisés
consommait quelque 5 kg de sucre raffiné par an. Depuis les années
70, ce chiffre a grimpé à 35 kg par an. Cela comprend le sucre
incorporé dans les biscuits et autres préparations. Depuis
lors, la consommation augmente surtout dans les pays en développement
(environ 60% de la consommation mondiale).



Un équilibre délicat

Le sucre est une cause de carie dentaire et, consommé en excès,
il fait grossir et cause le diabète. Mais un tout petit peu de sucre,
on peut ? À voir. Comme l’exprime le Dr. Richard Béliveau
 : « Le sucre, comme toutes les formes d’énergie, doit
être manipulé avec beaucoup de précaution (...). Même
si notre corps, et en particulier notre cerveau, a constamment besoin de glucose
pour fonctionner, il a tout de même développé en parallèle
un système de contrôle très sophistiqué pour maintenir
la concentration de cette molécule à des niveaux tout juste suffisants
(...). »




Ce délicat mécanisme de contrôle peut être perturbé,
avec des conséquences dramatiques. Entre 1985 et aujourd’hui, le nombre
de personnes atteintes de diabète a augmenté de manière
fulgurante : de 30 millions à plus de 200 millions. « On
estime que les personnes atteintes de diabète ont une espérance
de vie réduite en moyenne de douze ans, soit autant que par le tabagisme
 ! »
explique Richard Béliveau. Or,
jusqu’à présent, point d’avertissement sur ma canette de soda
que je consomme une boisson mortelle.….


Le fructose, pas si inoffensif…

Robert Lustig,
endocrinologue pédiatrique à l’Université de Californie, affirme que
le fructose, vu comme un sucre innocent car dérivé des fruits, n’est
pas si inoffensif que cela. Contrairement au glucose, il ne passe pas
directement dans les cellules grâce à l’insuline mais doit être traité
par le foie, tout comme l’alcool. Il ferait trop monter le taux de
triglycérides dans le sang, ce qui augmente le risque de maladies
cardiovasculaires. Or le fructose est devenu omniprésent dans notre
alimentation via les sirops de glucose-fructose que l’on trouve dans les
sodas, biscuits et autres friandises.



Voilà pourquoi un sucre comme le sirop d’agave, avec ses 90 % de
fructose, n’est peut-être pas une si bonne idée. Il est bon de savoir
aussi que le fructose en poudre, disponible en magasin, n’est pas
extrait de fruits mais d’amidon.


D’autres effets désastreux

Notre corps a besoin de minéraux et vitamines B pour l’assimilation
du sucre. Or, nous l’avons vu, le sucre blanc n’en fournit point. Le
sucre est donc un mesquin voleur de nutriments, car le corps devra
puiser dans ses réserves pour pallier le manque. Cela amènera également
une acidification du corps, avec la déminéralisation et la fatigue qui
en résultent.



Le sucre perturbe aussi la digestion et met la flore intestinale KO.
Il favorise l’inflammation dans les tissus et le développement des
cellules cancéreuses. Il entrave le bon fonctionnement des globules
blancs et diminue donc l’immunité.


Combien de sucre alors ?

Le moins possible. Mais c’est plus vite dit que fait !



L’Organisation Mondiale de la Santé recommande de consommer maximum
5% des calories journalières sous forme de sucre. Pour une personne
adulte, cela revient à 5 ou 6 cuillères à café par
jour, pour un enfant à seulement 3 cuillères à café,
toutes sources confondues : biscuits, jus, confiture sur la tartine...

Or, une cannette de soda contient quelque 30g de sucre, soit 6 cuillères.
Oups, une cannette et voilà que le plafond est déjà atteint
 !



Mais comment, soupireront les parents, éviter de trop « sucrer » les
enfants ? Une piste est de ne pas se concentrer sur les collations
mais d’agir sur toute la ligne :


  • augmenter les doses de légumes et diminuer les féculents, qu’on choisira complets ;
  • proposer des sources de protéines et de graisses saines à chaque repas ;
  • fuir le sucre blanc industriel et le remplacer par du sucre intégral ou du miel ;
  • diminuer les doses de sucre dans les desserts maison ;
  • pour les envies sucrées, les fruits frais et entiers sont
    le meilleur choix. Le sucre qu’ils fournissent vient accompagné de
    vitamines, sels minéraux et enzymes qui facilitent son métabolisme,
    et des fibres qui ralentissent son absorption par le corps.
  • revenir à l’eau et aux tisanes comme boissons, ou s’offrir
    occasionnellement un jus fraîchement pressé, à la place des jus ou
    sodas ;
  • proposer des collations moins sucrées tels que fruits frais,
    olives, bouts de fromage, mendiants, biscuits faits maison pauvres en
    sucre et aromatisés à la cannelle, la vanille...
  • ne pas hésiter à aborder le sujet avec l’école si elle ne propose pas toujours des choses très saines à la cantine.

Pas un univers de douceur pour les travailleurs et l’environnement…

Aujourd’hui, dans certaines régions, la culture de la canne à sucre
est l’affaire de petits paysans, dans d’autres, la canne pousse dans
des plantations à échelle industrielle. En général la situation des
travailleurs est précaire, les salaires sont insuffisants, la
malnutrition et les blessures fréquentes.



Le travail des enfants est monnaie courante, selon un rapport de l’association Human Rights Watch
de 2004. L’Organisation Internationale du Travail estime que 5 000 à
30 000 enfants entre 8 et 13 ans sont employés dans les plantations du
Salvador. Bon nombre d’entre eux ne verra jamais une école de près.



Un rapport de l’ONG Sucre Éthique
donne la liste noire des pesticides les plus toxiques utilisés dans la
culture de la canne à sucre. On y trouve entre autres le paraquat,
l’endosulfan et l’atrazine, suspectés d’être des perturbateurs
endocriniens. Une étude menée au Bangladesh a conclu que 87% des
travailleurs utilise les pesticides sans aucune protection. À côté du
risque aigu et chronique qu’ils posent pour la santé des travailleurs,
les pesticides polluent le sol et l’eau.


Un grand buveur d’eau

La culture de la canne à sucre est particulièrement gourmande
en eau et l’irrigation peut faire baisser la nappe phréatique de manière
à assécher la région. Ou encore, des villages entiers se
retrouvent parfois sans eau parce que les cultivateurs ont décidé
de dévier un cours d’eau pour irriguer les champs.


Des travailleurs éteignent le feu mis au champs pour faciliter la récolte.

Des travailleurs éteignent le feu mis au champs pour faciliter la
récolte.

Source : UN
Photo/Eskinder Debebe
Le site Watervoetafdruk
nous apprend que la production d’un cube de sucre de canne consomme 8 litres
d’eau, contre 4 litres pour un cube de sucre de betterave. Le Water
Footprint Network
a calculé que les ingrédients d’un soda
sont responsables pour 95% de son empreinte eau, alors que l’emballage et le
procédé de production ne représentent que 5%.




Par ailleurs, la culture de la canne à sucre contribue à la déforestation
et à l’érosion du sol. Les champs sont parfois brûlés
juste avant la récolte pour faciliter celle-ci, ce qui cause davantage
de dégâts au sol et des émissions de gaz à effet
de serre.


Un carburant propre ?

Dans un monde en pénurie de pétrole, le sucre, transformé en
éthanol, est aussi devenu carburant des voitures. Les agrocarburants
sont vantés comme source d’énergie propre et renouvelable. Mais si la
canne à sucre est cultivée pour sa transformation en carburant,
qu’adviendra-t-il des terres destinées à la production alimentaire des
populations locales et, surtout, des droits de ces dernières ?



Dans l’État du Mato Grosso do Sul au Brésil, près de 27 500 Guarani-Kaiowá
sont déjà victimes de violations de leurs droits. Ils ont perdu plus
de 90% de leur territoire ancestral au profit du bétail, du soja et de
la canne à sucre destinée à la production d’éthanol.


Des alternatives biologiques et équitables

On peut donc constater que les bonnes raisons abondent pour, premièrement,
manger peu de sucre (voir recommandations ci-dessus)
et, deuxièmement, de choisir d’excellente qualité quand on en
consomme.



En Belgique, on trouve du sucre à la fois bio et équitable. On peut
aussi penser au bio/équitable pour les chocolats, biscuits, bonbons et
friandises, puisque le sucre en est un ingrédient important.



Pour sucrer des boissons ou garnir des crêpes et tartines, le
miel bio du pays est une excellente alternative.
Il est souvent disponible
sur les marchés bio ou via les groupements d’achat commun. Encore une
bonne raison pour soutenir ces initiatives citoyennes, tout en se faisant plaisir
 !


En savoir plus :

(photo d’article : Paul
Howzey, via Flickr
)

La berce commune

Vos limaces mangent vos épinards, vous adorez la noix de coco mais cela vient de trop loin ? La nature a toujours une solution.
Une odeur et un petit goût coco-agrumes, cuite elle remplace les épinards ou les bettes. On peut même en faire un genre de "lait de coco". J'ai nommé : la berce commune (ne pas confondre avec la berce du Caucase), entièrement commestible.
Classique des prairies, adorée des insectes, elle pousse très bien dans mon jardin dit "paradis des limaces" (et des plantes sauvages). Elle a accompagné mon plat d'hier. C'est excellent.

lundi 16 juin 2014

Une douce révolte

« UNE DOUCE RÉVOLTE » va tenter de décrire, de comprendre et de questionner les démarches qui se développent sous différentes formes et qui visent à une transformation de la société dans ses fondamentaux : l’économie, le politique, la finance et l’action citoyenne.
+ d'infos ici

Une douce révolte Bande Annonce from LUX FUGIT FILM on Vimeo.

Des mauvaises herbes riches en vitamine c


Le GAC était a la fête de quartier le 7 juin





vendredi 13 juin 2014

Envie de sucré...

Source : a pinch of salt
 Cela ne vous arrive-t-il pas d'avoir une envie irrépressible de sucre? Ne vous arrive-t-il pas de manger une barre chocolatée un jour, puis pareil le deuxième jour et le troisième de devoir absolument ingurgiter cette même barre chocolatée aux alentours de la même heure?
A mon avis, peu de personne y échappe; en tout cas pas dans nos pays de surabondance. 
Je ne vais pas vous donner un cours sur les sucres mais il est bon, de temps en temps, de se rappeler que l'excès nuit en tout!

Faut-il pour autant bannir les sucres de son alimentation?
Non, bien sûr!
Mais limitons la consommation des sucres sans intérêt nutritionnel et choisissons-en qui nous apporte un minimum de vitamines et de minéraux en plus du plaisir recherché!

Par exemple:
I.
Faites fondre du chocolat noir (minimum 70% de cacao) et ajoutez-y des noisettes, des amandes, des noix... Etalez le tout sur une feuille de silicone ou de papier sulfurisé et placer dans le congélateur (quand on a envie de sucré, on n'attend pas trois heures!). 10 à 15 minutes plus tard, cassez des morceaux de votre plaque de chocolat et dégustez!
 Pourquoi faire sa plaque soi-même? Car celle du commerce ne contient souvent que 42-45% de cacao et moins il y a de cacao, plus il y a de sucres!
Le chocolat apporte du magnésium (anti-stress, régularise la satiété et le rythme veille/sommeil, myorelaxant, évite les pertes de calcium...). Plus il est noir, mieux c'est (oui, je sais, je me répète!).

II. Des fraises accompagnées d'un peu de purée d'amande.
Il suffit de couper des fraises en deux et de les arroser de purée d'amandes blanches. C'est encore meilleur qu'avec de la chantilly car le goût de l'amande sublime la saveur de la fraise. En plus les amandes sont riches en magnésium, calcium, potassium et leurs lipides diminuent l'action du sucre des fraises sur la glycémie. 
 Essayez nectarine + purée de pistaches
        poire + purée de noisettes
        melon + purée de noix de cajou
        pomme + noix concassées

III. Remplacez le sucre blanc par des sucres complets: rapadura, sucanat, miel, sirop d'érable, sucre de canne complet. Ils n'en restent pas moins du sucre mais, au moins, ils contiennent des minéraux.
Pour les autres glucides, choisissez également des aliments les plus complets possible (les moins raffinés et transformés possible).

IV. Faites vos biscuits et pâtisseries vous-même. Vous pourrez diminuer la quantité de sucre des recettes d'un tiers, voire de la moitié ou, pourquoi pas, les éliminer presque complètement.


Rappelez-vous que:


1/. Le sucre est transformé en graisse lorsqu'il est consommé en excès.
2/. Il provoque une assuétude en empêchant le précurseur du neuro-médiateur du bien-être d'arriver dans le cerveau.
3/. Sa consommation entraîne diabète de type 2 avec tous les problèmes de santé qui y sont liés, caries, ...

Si vous voulez en savoir plus:

Expliquez aux enfants:
"Ma Petite Encyclopédie du Corps Humain" de Nathalie Grandjean et Adrien Siroy, aux éditions Erasme:

Grâce à ce livre, expliquez aux petits de quoi leur corps est fait, comment il fonctionne et à quoi sert la nourriture une fois qu'on l'a avalée!
Les dessins sont rigolos, les explications concises et claires. Rien ne vous empêche de vous servir des illustrations pour en dire un peu plus que le texte.
Une façon ludique et positive d'expliquer pourquoi on ne peut pas manger que des bonbons!

Pour les adultes, voici un topo sur les sucres, comment ils peuvent nous rendre zinzin et comment s'en sortir:
"Cinglés de sucre" de Taty Lauwers aux éditions Aladdin.

Un livre qui vous propose aussi de saines alternatives aux snacks de l'industrie agro-alimentaire et des recettes faciles et super vites faites.

Recette express : sorbet aux fruits rouges pour 2 personnes


Un dessert qui peut se faire sans sorbetière
  1. Versez tous les ingrédients dans le mixeur.
  2. Mixez l’ensemble pendant environ 30 secondes.
  3. Dégustez immédiatement

Ingrédients

  • 250 g de fruits rouges surgelé
  • Un blanc d’œuf monté en neige
  • 20 g de sucre glace
  • 60 g de sucre

Equipements

  • Un mixeur

Les conseils

  • Attention ! Ces sorbets ne doivent pas être congelés. Dessert à consommer immédiatement !
  • Vous pouvez remplacer les fruits rouges par des fraises ou d’autres fruits surgelés.

La limonade d'Ortie


Recette de limonade de sureau

Pour 5 litres d'eau de source ou d'eau filtrée
5 corymbes
500g de sucre
1/2 verre de vinaigre
1 citron

Séparer à l'aide d'une paire de ciseaux les tiges des fleurs. Dans un grand récipient en verre (style Dame Jeanne ou pichet ou saladier), verser les 5 litres d'eau sur les fleurs , ajouter le vinaigre, le sucre, le citron épluché et coupé en rondelle, bien remuer. Couvrir le récipient d'un tissu fin ou de deux gazes superposées fixés par un élastique. Exposer l'ensemble au soleil dès que l'occasion se présente dehors ou devant une fenêtre (en Bretagne, cela demande de l'attention ;-) ), mélanger une fois par jour avec une grande cuillère. Cela pendant 5 jours. Au bout des 5 jours, filtrer et exprimer (presser les fleurs). Verser dans des bouteilles bien propre. Et avant de siroter cette délicieuse limonade, patienter encore une semaine (afin qu'elle soit bien gazeuse)...

Bonne dégustation!

source ici